Ce que notre rapport au temps dit de nous...
« On ne verra pas le temps passer ! »
Programme et intervenants à venir...
Notre rapport au temps rejoint des dimensions plus profondes de notre personnalité.
« Notre rapport au temps est relatif », dirait l’astrophysicien.
« Il l’est même dans notre quotidien », ajouterait le psychologue...
Et oui, cela provient de la perception très subjective que nous avons du temps. Des phrases comme « je n’ai pas vu le temps passer » ou « ca n’en finira jamais », viennent conforter cette idée.
Et effet, notre rapport au temps rejoint les dimensions plus profondes de notre personnalité et de notre rapport à l’existence.
Les « nostalgiques »sont animés par le fait de se souvenir et de revivre les bons moments. Les « ponctuels »quant à eux, recherchent certainement une équité, un respect mutuel. Ceux qui arrivent en avance sont peut-être davantage dans une forme de culpabilité, ne pas faire perdre du temps à l’autre. Tandis que ceux qui sont en retard pourraient être davantage dans un jeu de séduction, se faisant désirer.
De la même manière, il y a les personnes « speed », ayant besoin d’objectifs, craignant le sentiment d’errance, d’ennui et de vide existentiel quand il n’y a pas, ou plus, de but. Les « procrastinateurs »regroupent, quant à eux, différentes catégories, allant de l’excès de confiance « je suis large, j’ai le temps », jusqu’au manque de confiance « jamais je n’y arriverai ».
Bien sûr, tout n’est pas aussi caricatural mais s'interroger sur notre rapport au temps nous donnera à coup sûr de précieuses informations sur la découverte de nous-mêmes...
« Il l’est même dans notre quotidien », ajouterait le psychologue...
Et oui, cela provient de la perception très subjective que nous avons du temps. Des phrases comme « je n’ai pas vu le temps passer » ou « ca n’en finira jamais », viennent conforter cette idée.
Et effet, notre rapport au temps rejoint les dimensions plus profondes de notre personnalité et de notre rapport à l’existence.
Les « nostalgiques »sont animés par le fait de se souvenir et de revivre les bons moments. Les « ponctuels »quant à eux, recherchent certainement une équité, un respect mutuel. Ceux qui arrivent en avance sont peut-être davantage dans une forme de culpabilité, ne pas faire perdre du temps à l’autre. Tandis que ceux qui sont en retard pourraient être davantage dans un jeu de séduction, se faisant désirer.
De la même manière, il y a les personnes « speed », ayant besoin d’objectifs, craignant le sentiment d’errance, d’ennui et de vide existentiel quand il n’y a pas, ou plus, de but. Les « procrastinateurs »regroupent, quant à eux, différentes catégories, allant de l’excès de confiance « je suis large, j’ai le temps », jusqu’au manque de confiance « jamais je n’y arriverai ».
Bien sûr, tout n’est pas aussi caricatural mais s'interroger sur notre rapport au temps nous donnera à coup sûr de précieuses informations sur la découverte de nous-mêmes...
Une invitation à l'exploration de soi